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Le printemps fait du sur place narguant narquois un pâle été
que la fraîcheur et les pluies de juin ont éconduit tristounet.
Un public,oisif,s'ennuierait le long de jour pénible,lassant
et barbant qui solstice l'été en ce 21 juin qui s’étire mouillé, lent.
Ah dieu du ciel, toi qui sait ce dont demain sera fait,les saisons
vont devenir folles et dérégler la nature exsangue qui,à foison,
assistera bientôt,à la mue d'un temps à pourrir les moissons.
Les hommes,apathiques, assis,verront les abeilles disparaître
sous les assauts de produits nocifs qui tuent plantes et êtres.
Ce monde , le nôtre, avance-t-il inéluctablement vers une fin
devinée, annoncée, prévue depuis delà et dénoncée en vain.?
L’Être 'humain ensuqué par la fuite d'un temps submergeant.
Se complaisant dans l'oisive apathie mourra-t-il inconscient?
Oh ciel toi qui sait tout, pourquoi l'homme avide pollue ou tue
ses beaux,voyant,demain,une nature suicidaire faire sa mue.
Et tel le dédain d'état d’âme d'une belle-mère envers sa bru,
l’appât aux soiffards avides de biens futiles,engrangés,les tue.
Djillali Boutiche, Zeralda le 22 juin 2018.
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Voila, je te retrouve un peu de temps en temps ....mais tu peux aussi en distiller sur Facebook.. mreci d' avance ...
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Bonjour Paul, ok, message reçu.
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